La volière
La volière présente des oiseaux originaires du continent africain.
L'ibis sacré, reconnaissable à sa tête nue et son long bec courbé, sonde pour se nourrir les fonds vaseux et les berges sablonneuses à la recherche de grenouilles, poissons, crustacés, mollusques et insectes. C'est la femelle qui construit le nid avec les matériaux apportés par le mâle. Elle y pond 2 à 4 oeufs qui y seront couvés pendant plus ou moins 21 jours par les 2 parents.
La cigogne blanche pond entre 3 et 5 oeufs que le couple couve alternativement pendant 28 jours. La cigogne est une grande migratrice qui prend ses quartiers d'hiver en Afrique et ceux d'été en Europe. On retrouve également quelques populations en Asie.
Bien que n'étant pas en voie d'extinction, ces animaux, voient leurs populations régulièrement décliner.
Les oiseaux de notre volière se reproduisent très régulièrement. Dès les mois de mars-avril, il est possible d'observer la construction des nids et de voir pendant les mois printaniers les parents y nourrir leurs oisillons.
Depuis 2009, 2 couples de cigognes sauvages ont élu domicile dans le parc
La volière présente des oiseaux originaires du continent africain.
L'ibis sacré, reconnaissable à sa tête nue et son long bec courbé, sonde pour se nourrir les fonds vaseux et les berges sablonneuses à la recherche de grenouilles, poissons, crustacés, mollusques et insectes. C'est la femelle qui construit le nid avec les matériaux apportés par le mâle. Elle y pond 2 à 4 oeufs qui y seront couvés pendant plus ou moins 21 jours par les 2 parents.
La cigogne blanche pond entre 3 et 5 oeufs que le couple couve alternativement pendant 28 jours. La cigogne est une grande migratrice qui prend ses quartiers d'hiver en Afrique et ceux d'été en Europe. On retrouve également quelques populations en Asie.
Bien que n'étant pas en voie d'extinction, ces animaux, voient leurs populations régulièrement décliner.
Les oiseaux de notre volière se reproduisent très régulièrement. Dès les mois de mars-avril, il est possible d'observer la construction des nids et de voir pendant les mois printaniers les parents y nourrir leurs oisillons.
Depuis 2009, 2 couples de cigognes sauvages ont élu domicile dans le parc
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